Loomio
Wed 17 Jan 2018 4:29PM

Groupe Enseignement

BL Benoit Lhoest Public Seen by 9

Les 5 propositions qui suivent ont été plébiscitées par le Cercle Enseignement à l'AG du 14 janvier. Nhésitez pas à les commenter et/ou à proposer des ajouts et amendements au programme général que chacun.e peut télécharger.

Ci-dessous la dernière mouture de notre proposition de Programme.

BL

Benoit Lhoest Wed 17 Jan 2018 4:35PM

  • Encourager les économies d'énergie dans les bâtiments scolaires en entrenant et protégeant mieux le patrimoine existant.
  • Encourager le dépistage précoce de la dyslexie et de la dyscalculie et mieux former les enseignants à gérer ces problématiques.
  • Encourager la création d'écoles de devoirs et de modules de remédiation.
  • Mieux former les enseignants et ensuite les enfants aux technologies de la communication et de l'information.
  • Prévoir davantage d'activités d'ouverture culturelle, sportive et écologique : pratique du vélo, ateliers de musique, sorties nature.
NB

Nathanaël Brugmans Thu 18 Jan 2018 9:18AM

Bonjour à tous,

J'imagine que ces propositions "phares" pourront encore être discutées lors des prochaines réunions ? A-t-on une idée de l'agenda des prochaines rencontres ?
Au plaisir de vous y rencontrer !
Nathanaël Brugmans

BL

Benoit Lhoest Fri 19 Jan 2018 7:26AM

Oui. Il reste au moins trois mois pour finaliser le programme et le Groupe se réunit à chaque AG (mais peut-être devrions-nous nous réunir une fois ou l'autre en tant que Cercle pour retravailler le tout en profondeur).

PE

Pierre Eyben Fri 19 Jan 2018 12:47PM

Je me permet partager avec vous cet extrait (un peu long désolé) du programme 2012 de VEGA sur l'enseignement car je pense qu'il y a des propositions intéressantes à (re)piocher dedans.

Je peux vous mettre en lien avec la rédactrice principale de ce pan du programme (mon ex-épouse qui a elle aussi quitté VEGA et qui est impliquée à CGé)

Outre ceux que vous avez pointé, dans les éléments qui me semblent pouvoir constituer des marqueurs de notre campagne, je pense à la refonte de l'immersion, à la lutte pour l'alphabétisation, et la réflexion sur les compétences de l'échevinat de l'instruction publique

A vous lire,

Pierre


  1. Enseignement 2.1. Rendre l’enseignement plus égalitaire L’aide aux élèves en difficulté La coopérative VEGA veut soutenir les mesures relatives à la remédiation, pour autant que celle-ci soit gratuite et ouverte à tous. Pour pouvoir encore augmenter la capacité en heures de remédiation, alors que la charge des enseignants est déjà grande, nous proposons que des étudiants de fin de secondaire de la Haute Ecole puissent, dans un cadre contractuel bien fixé et suite à une formation adaptée, apporter leur aide à des élèves en difficulté. En retour, ils recevraient une réduction du minerval d’inscription ou de réinscription dans la Haute Ecole de la Ville.

La transmission des savoirs
Cependant, nous tenons à souligner que la remédiation seule n’est qu’une politique du sparadrap car elle s’attache à réduire l’échec scolaire sans en traiter la cause. En amont des séances de remédiation, il faut que les enseignants adoptent en classe une pédagogie adaptée à leurs élèves, et ceci, dès l’école maternelle. C’est pourquoi la formation initiale et la formation continuée jouent un rôle incontournable. De nombreuses études démontrent que le taux de réussite scolaire est fortement corrélé avec le milieu socio-culturel des familles. À la Haute Ecole de la Ville (catégorie pédagogique), il faut donc imposer à tous les futurs enseignants un module sur le rapport à la transmission du savoir des classes populaires. Ce module doit aussi être disponible en formation interne pour tout enseignant en fonction, à tout le moins dans une école à discrimination positive.
Les classes de dépaysement, les coûts scolaires VEGA souhaite que tout voyage d’étude soit entièrement accessible à TOUS les élèves, quel que soit leur milieu socioculturel.
D’une école à l’autre, d’importantes disparités au niveau du coût sont légion. VEGA souhaite une harmonisation, par cycle d’étude, des frais demandés aux parents.

2.2. Valoriser le personnel scolaire
Le personnel de garderie
Au niveau du fondamental, le personnel de garderie doit pouvoir recevoir une formation sur le concept d’interculturalité et sur la communication « parents – élèves- auxiliaires ». La mise à disposition d’éducateurs qualifiés pour le plus grand nombre d’écoles, en commençant par celles à discrimination positive, doit aussi pouvoir être envisagée.
Les élèves ont besoin d’un personnel éducatif qualifié, et valorisé en conséquence.

Le personnel d’entretien
Actuellement, les femmes d’ouvrage ne sont pas remplacées lorsqu’elles sont malades. Leur nombre a diminué de manière très significative ces dernières années. Souvent, elles travaillent sur plusieurs sites alors qu’en réorganisant les affectations, elles pourraient travailler sur un seul. Lorsqu’elles doivent faire des extras (événements particuliers à,
cela diminue le temps disponible pour l’entretien habituel. Il faut donc réengager et réorganiser pour valoriser cette partie du personnel, absolument indispensable au bon fonctionnement des établissements.

Les enseignants
Le Pouvoir Organisateur de la ville de Liège emploie environ 2500 enseignants. Leur travail est essentiel pour l’avenir des jeunes Liégeois. Revaloriser leur métier est donc une priorité pour VEGA. La formation continue doit être encouragée et des moyens doivent être dégagés pour que tous les enseignants soient remplacés lorsqu’ils sont en
formation.

Les enseignants qui sont en début de carrière ne sont pas suffisamment soutenus. Les statistiques indiquent que la plupart des abandons ont lieu dans les cinq premières années. Afin que les personnes qui débutent ou qui désirent tester une nouvelle manière d’enseigner puissent trouver un soutien, nous proposons que des sociologues (ayant une
expérience dans l’enseignement) et des pédagogues soient engagés afin d’assister les personnes qui le désirent. Des enseignants expérimentés pourraient voir leur charge allégée pour se consacrer à un accompagnement auprès des novices. Afin de permettre aux nouveaux enseignants de trouver des réponses à leurs difficultés, ces conseillers
pédagogiques indiqueraient quel(s) type(s) de compétences ils peuvent développer.
Dès son entrée en fonction, l’enseignant doit recevoir une information étayée sur ses droits et sur les budgets existants. Il doit pouvoir prendre connaissance des conditions à remplir et des procédures à suivre pour obtenir de l’argent, que ce soit pour du matériel ou des formations.

Les compétences de l’échevinat de l’Instruction Publique
Nous notons d’importants dysfonctionnements liés à un manque de synergie des différents acteurs qui gravitent autour de l’enseignement de la Ville. Une renégociation des compétences liées aux différents échevinats ou une meilleure collaboration entre eux améliorerait la qualité de notre enseignement.
Par exemple, la difficulté de débloquer les budgets alloués à l’enseignement mène à un gaspillage important des ressources. Nous proposons que les bons de commande soient informatisés et que leur approbation ou refus soit décidé au sein de l’échevinat de l’Instruction Publique.
De même, plusieurs écoles manquent de locaux alors que la Ville, qui possède un patrimoine foncier et immobilier important, pourrait en attribuer. Ce dernier point est d’autant plus crucial qu’au vu de l’état de délabrement de certaines classes, les écoles hésitent à faire réaliser un audit d’hygiène et de sécurité. Elles craignent de se voir
obligées de fermer des locaux et de se trouver alors dans l’incapacité d’assurer la tenue des cours. Dans ce dernier cas, c’est non seulement la qualité du cadre de vie mais aussi la sécurité des élèves qui est en jeu.
Nous souhaitons donc que toutes les compétences nécessaires au fonctionnement des écoles soient centralisées au niveau de l’échevinat de l’instruction publique.

La rénovation des bâtiments scolaires
Dans de nombreuses écoles de la Ville, la qualité des bâtiments présente de graves lacunes : chaudières, mobiliers divers, installations sanitaires, etc... Nous voulons que l’indispensable politique de rénovation des bâtiments prenne en compte des critères écologiques, que ce soit pour économiser l’énergie ou pour le choix de matériaux respectueux de la santé des élèves et du personnel éducatif.

2.3. Refuser la marchandisation de l’école
Les écoles à projet
Nous constatons que la mise en concurrence, d’une part des réseaux et d’autre part, des écoles au sein de notre propre réseau communal mène à des politiques de marché incompatibles avec la finalité égalitaire et émancipatrice de l’enseignement.
Nous souhaitons que cesse le développement d’écoles à projet, qui génère un enseignement à deux vitesses n’ayant pour but que d’attirer plus d’élèves. Par contre, les projets issus des élèves et des enseignants, les échanges entre filières et écoles doivent être encouragés. À l’opposé des écoles à projet, qui uniformisent le public d’une école, ces initiatives visent en efet à une mixité culturelle et sociale, bénéfique à tous.

La pédagogie active
Les projets éducatif et pédagogique de la Ville devraient se traduire par l’application d’une pédagogie active dans tous les établissements. Ils insistent entre autres sur la transmission des savoirs, savoir-être et savoir-faire par l’exploitation de situations-problèmes et de projets. Nous y sommes favorables mais soulignons qu’il est alors incohérent d’afficher publiquement que seuls 5 établissements sur 40 dans le fondamental et un dans le secondaire fonctionnent en pédagogie active.

L’immersion
Nous sommes bien entendu favorables à un apprentissage des langues de qualité. Il est cependant regrettable que l’enseignement en immersion ne soit réservé qu’à une minorité d’élèves, pour la plupart, socialement favorisés. En ce sens, nous proposons de réfléchir à un principe d’immersion partielle (un jour par semaine) et à l’organisation de classes de dépaysement en immersion pour tous les établissements en remplacement du système à deux vitesses actuel qui n’est généralisable ni financièrement, ni humainement (pénurie de professeurs « native speakers »).

Un enseignement neutre et pluraliste
En ce qui concerne le port de signes convictionnels en milieu scolaire, nous estimons qu’un règlement est nécessaire au niveau du pouvoir organisateur (donc au niveau de la Commune) pour ne pas laisser les directions d’école seules à gérer cette question. Nous souhaitons notamment éviter la création d’écoles ghettos, dont le principe est à l’antithèse
du projet éducatif que nous voulons pour la Ville.

La publicité, les actions commerciales
Nous tenons aussi à ce que l’interdiction de la publicité au sein des écoles soit scrupuleusement respectée. Une alternative doit par exemple être recherchée aux distributeurs de boissons de marque.
Les directeurs d’école sont actuellement libres d’accepter ou non les propositions commerciales que les entreprises privées leur font. Nous considérons que cela devrait toujours passer par le pouvoir organisateur et pour notre part, nous restons opposés à toute forme de publicité à l’école.

Les relations avec les parents
Il faut passer d’une logique de parents consommateurs à une logique de parents acteurs, leur ouvrir encore plus les portes des écoles et leur permettre de prendre part à la vie et aux décisions le plus souvent possible.

2.4. Faire de l’alphabétisation une priorité
Il y a véritablement une demande d’alphabétisation non rencontrée et c’est dans notre société, pour une formation de gauche comme VEGA, une situation totalement inacceptable !
Le savoir faire est là mais comme pour le reste, il s’agit d’une volonté politique de décider d’allouer le budget nécessaire pour aider les structures en place et augmenter l’offre.
En efet, des structures existent. Au niveau du pouvoir communal, il y a des bibliothèques de quartier (il y en a 13) comme par exemple Droixhe ou les Vennes qui font un travail remarquable dans ce sens, avec des groupes réduits, un support informatique et un accompagnement individuel. Malheureusement, des locaux souvent trop exigus et un
manque évident de personnel sont un frein au développement de ces lieux. Au niveau de la Communauté Française, d’autres structures beaucoup plus importantes comme Lire et Ecrire font un travail de type plus « scolaire » mais aident beaucoup plus de monde. Cette association a aussi un grand rôle fédérateur. Toutefois, les petites structures accueillent plus facilement certains publics. Ainsi, des femmes maghrébines osent aller à la bibliothèque apprendre et participer à leur rythme à des tables de lecture pendant que leurs enfants sont pris en charge par du personnel spécialisé. Pour certaines, cela sert de tremplin et les incite à s’inscrire à des cours plus poussés. Il y a un lien évident
avec l’interculturel. C’est pourquoi l’échelon local (communal) à un rôle essentiel.
Nous souhaitons faire du combat pour un taux d’alphabétisation maximal une des grandes priorités sur le plan communal. Pour atteindre cet objectif, il faut d’une manière générale trouver des locaux et du personnel enseignant adaptés à deux grands groupes spécifiques :
1) ceux qui ne savent pas lire ni écrire
2) ceux qui ne savent pas lire ni écrire en français mais bien dans une autre langue (c’est très souvent le cas des personnes venant des pays de l’Est)
Un troisième groupe concerne certains enfants qui rencontrent des difficultés scolaires, groupe qui pourrait être gérer dans le cadre de l’enseignement communal (là aussi il faut y mettre les moyens)
Il faut noter que l’apprentissage via l’ordinateur ne convient pas à tout le monde mais a le grand avantage de faire entrer l’apprenant dans le monde informatique (sous prétexte parfois d’un but très concret, par exemple l’étude du code de la route afin d’obtenir le permis de conduire oblige à apprendre le français). Nous proposons de renforcer son utilisation.
L’analphabétisation d’une partie des Liégeois est un mal qui doit concerner tous les Liégeois ! Ce n’est pas une fatalité !

2.5. Faire revenir l’université en ville
Le transfert, au cours des cinq dernières décennies, de presque toutes les facultés de l’Université de Liège sur le site du Sart-Tilman est à nos yeux un échec.
• Le Sart-Tilman n’est jamais devenu le campus où aurait pu s’épanouir la vie universitaire. On n’y trouve quasiment aucune vie sociale en soirée, et la vie intellectuelle extra-académique ne trouve pas de bonnes conditions pour se développer, ce qui constitue un handicap sérieux pour l’ULg, par comparaison avec d’autres universités.
• Le coeur urbain a été pour sa part largement vidé du dynamisme lié à la présence des étudiants, dont une proportion trop importante circule en voiture et ne s’arrête que très occasionnellement au centre de la ville.
• Un aménagement du territoire d’un autre temps a conduit à mettre en place des infrastructures routières démesurées et à éclater les fonctions de façon déraisonnable sur le site, en sorte qu’il est quasiment impossible de concevoir une ligne de transport en commun efficace desservant les principales facultés, le parc scientifique, le CHU, le Country hall ou le site commercial de Boncelles,… Il en résulte une situation inextricable du point de vue de la mobilité.
• De surcroît, la très mauvaise répartition dans le temps de la demande (les pics les plus importants du réseau à la pointe du matin pendant l’année universitaire, et une demande faible voire insignifiante le reste du temps) rend difficile, à l’heure actuelle, le développement d’une ofre TEC de qualité.
Il est donc grand temps de repenser complètement l’avenir du site. L’intégration dans l’université des HEC, puis des écoles d’architecture, puis le rachat par l’ULg de l’ancien cinéma « Opéra » pour y créer des auditoires ont marqué, ces dernières années, le début d’un retour à la ville… qui doit selon nous s’amplifier.

La politique à mener à notre avis, est la suivante :
1. Primo, en bonne intelligence avec les autorités universitaires, la Ville doit favoriser, compte tenu de l’obsolescence de certains bâtiments, le retour en ville des plusieurs facultés actuellement situées au Sart-Tilman. La construction d’un site unique pour la faculté d’architecture est l’enjeu le plus immédiat. La création d’espaces destinés à la vie étudiante (et notamment une grande salle festive, mais pas uniquement) est également indispensable. Par la suite, ce sont les facultés de sciences humaines seront principalement concernées, en raison de leurs besoins moindres en surfaces et équipements techniques. Certains sites comme l’ancienne abbaye de St Laurent, le site de Fontainebleau, l’institut de zoologie ou Bavière constituent des opportunités à étudier en détail. Cette politique doit être menée dans le respect de l’extraordinaire patrimoine moderne présent sur le site du Sart-Tilman.
2. Sur le plateau du Sart-Tilman (dans la zone centrale du site, entre le Country hall et le rond-point du Sart-Tilman ; sans extension sur les espaces naturels), il est souhaitable de créer un vrai quartier de vie, piéton, dense, mixte, urbain, non spécialement orienté vers l’université. Il faudra y développer un réseau de vélos partagés propre au site universitaire. Les développements urbanistiques récents (Pré-Aily et même « écoquartier
») ne vont pas du tout dans ce sens, en favorisant une typologie éclatée et une mobilité
principalement automobile.
3. Un transport structurant de grande capacité (tram) doit, à terme — quand les conditions de sa réalisation seront réunies —, relier le Sart-Tilman au centre-ville.

2.6. Le port des signes convictionnels à l’école et dans l’administration
VEGA défend le principe de laïcité : comme on le sait depuis l’époque des guerres de religion, pour que toutes les convictions religieuses et philosophiques puissent cohabiter harmonieusement dans l’espace public, il est indispensable de séparer les églises et l’Etat. Ce principe a deux conséquences. La première, c’est que l’Etat doit être neutre sur le plan convictionnel. La seconde, c’est que les cultes organisés sont priés de ne pas faire de politique. Ce principe ne saurait cependant avoir d’incidence sur les comportements individuels : dans une société laïque, chacun reste libre de manifester son appartenance religieuse ou philosophique, y compris dans l’espace public, pour autant qu’il évite tout prosélytisme.
En matière de port de signes convictionnels, la position de VEGA est donc une position « libérale » : nous n’entendons pas réglementer la manière dont les gens s’expriment ou s’habillent.
Et si sont rapportés certains cas de pressions exercées sur des personnes pour les contraindre au port de certains signes convictionnels, nous considérons que de telles atteintes aux libertés individuelles peuvent être réprimées — et sévèrement réprimées — pour elles-mêmes, sans remettre en cause le principe général.
Une attention particulière se porte néanmoins sur deux cas :
• Les agents de l’Etat dans l’exercice de leurs fonctions.
• Les enfants dans l’enceinte de l’école publique. Nous souhaitons à cet égard l’adoption d’un cadre légal, afin de ne pas laisser les directions d’école devoir arbitrer seules dans ce domaine.
Ces deux cas doivent entrer dans le débat public et démocratique. VEGA propose de concrètement légiférer sur cette matière.
VEGA est engagé dans un débat interne qui devra dégager à terme des propositions. Il appartient à chaque membre de VEGA, en accord avec sa conscience, de s’exprimer selon ses propres convictions sur ce sujet.

BL

Benoit Lhoest Fri 19 Jan 2018 12:55PM

Très intéressant tout cela @pierreeyben ! Avec @guylambert, on devrait peut-être programmer une réunion spécifique du Cercle Enseignement et fusionner tous ces documents après avoir comparé et trié les propositions.

BL

Benoit Lhoest Tue 23 Jan 2018 6:05PM

Une réflexion remarquablement élaborée par l'ASBL Ecole de Tous à propos de ce que pourrait être le Tronc Commun s'il dépassait enfin le stade de la propagande creuse et des intentions pieuses. Le lien m'a été communiqué par Barbara Trachte et pourrait servir de base à nos propositions sur le Pacte d'Excellence :

BL

Benoit Lhoest Tue 23 Jan 2018 6:08PM

Et ci-dessous l'annonce de l'implémentation de ce projet à Angleur.

LV

Logan Verhoeven Wed 24 Jan 2018 8:07AM

Je me dois aussi de partager les rapports des élèves sur l'école de demain (en lien avec le projet du Pacte pour un Enseignement d'excellence). Les élèves ont, en effet, pu donner leur avis sur ce qu'ils et elles attendent de l'école.

Voici le lien vers le site du CEF, le Comité des Elèves Francophones (où je travaille et où j'ai été président de 2013 à juin 2017) : https://www.lecef.org/projets/pacte/

RVE

Renaud Van Eeckhout Fri 26 Jan 2018 3:38PM

Bonjour,
Y aura-t-il quelqu'un du cercle Enseignement a la réunion inter-cercles du 1e février ?

BL

Benoit Lhoest Fri 26 Jan 2018 3:45PM

Pas moi. Je ne suis pas libre ce jour-là. Tu devrais contacter Guy Lambert qui est l'animateur "historique" du Cercle.

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