Où sont passées les étoiles?

Merci pour vos éclairages 😊… Je vous propose de prendre la main sur cette discussion étant donné que je vois votre expérience en la matière ainsi que mon manque de disponibilité, si vous voulez accepter
la mission cordialement.

De : Valerie GUEROUT (Loomio) [email protected]

Envoyé : dimanche 7 octobre 2018 14:55

À : [email protected]

Objet : Valerie GUEROUT vous a mentionné dans : Où sont passées les étoiles?

Bonjour @lu15 c'est gentil mais faute de temps je ne peux pas faire cette synthèse à votre place. Lancez un appel ici.

il y a déjà eu des essais dans certaines villes et villages d'éteindre totalement l'éclairage publique, les résultats moins de cambriolage et les automobilistes font plus attention.

Suite à ces incidents de mise en route, veuillez excuser mon manque de rigueur, je relance la discussion, donc pour résumer, Agnès a soulever deux problèmes, l'origine de l'électricité, mais est-ce que si toute cette énergie gaspillée n'était pas consommée, cela ne profiterait-il pas aux autres consommateurs, soit nous, pour d'autres usages, tel le chauffage qui dans nos campagnes sont encore nombreuses à ce chauffer au fioul… Pour les questions de sécurité, Stéphane à en parti répondu. Pour ma part, j'ai lancé une pétition dans mon village à ces fins et les seules réticences viennent de personnes dont l'éclairage publique leur est utile à titre personnel (oui mais le lampadaire éclaire la terrasse de mon jardin). L'article de Claire est également très intéressant et rapporter à une sociologie des communes, 70% d'entres elles sont constituées de moins de 2000 habitants, dont la mienne, ne serait-il pas probant dans faire une trame noire…

La pollution lumineuse, un fléau vu du ciel, mais c'en est un aussi, lorsque nous voulons regarder les étoiles. Le sujet est vaste, mais pour y trouver une solution, ne faudrait il pas limiter l'éclairage individuel voir publique ? C'est par des mesures contraignantes que les mentalités peuvent changer.

Bonjour, sujet brûlant d'actualité! consultation publique ouverte jusqu'au 16 novembre: http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/prevention-des-nuisances-lumineuses-arrete-relatif-a1882.html.
Peut-être qu'il serait judicieux de rédiger un (ou des...) commentaire-s?

Merci Claire. Vraiment dommage que le site n'affiche pas tous les commentaires déposés, vraiment étrange pour une consultation "publique". Encore des progrès à faire en matière de démocratie et de transparence ;-).
Date de clôture de la consultation : 16 novembre.
Serions-nous capables, ici, de co-rédiger un commentaire type qui pourrait être transmis aussi par Mathieu à tous les signataires sous une poignée de jours ?

Valérie,
je n'ai personnellement pas de connaissances suffisantes sur ce sujet pour rédiger quelque chose.
la consultation porte sur des décrets avec des données techniques précises. je ne sais pas bien comment pouvoir y répondre... le but étant bien sûr que le commentaire soit adapté au texte (sinon je ne crois pas que le message sera entendu)

bonjour à tous, a qui profite cette dépense d'énergie ? notre volonté d'être, même en pleine nuit, éclairé comme en plein jour donne une justification à la nécessite des centrales nucléaires qui, comme tout le monde le sait, ne "polluent" pas, un autre aspect de cette pollution notre santé : stress, dépression, baisse des capacités cognitives et motrices, obésité, risques accrus de cancer et de maladies cardiovasculaires, troubles de la croissance...cette pollution génère aussi la mort de million d'oiseaux migrateurs tous les ans qui perdent leur repaires se perdent, s'écrasent contre les bâtiments.
Je penses que c'est s'attaquer à un puissant lobby que de militer contre la pollution lumineuse, on connait les déboires de EPR de Flamanville et la fuite en avant de ces industriels.
Plusieurs associations existent notamment anpcen.fr qui milite pour la protection du ciel nocturne.

Bonjour,
suite au commentaire de Stéphane, pour information, j'ai contacté l'ANPCEN afin qu'il puisse réagir à la consultation publique en cours, s'ils ne l'ont pas déjà fait.