Wed 24 Jun 2015 12:48PM
24. Quelles décisions doivent être prises à chaque niveau du mouvement ?
Assemblée Générale? Comité de pilotage? Bureau hebdomadaire? Groupes locaux? Groupes de travail fonctionnels? Groupes de travail thématiques?
Eric Buyssens Fri 24 Jul 2015 1:04PM
c'est prématuré comme question ... pour le moment tout se décide en comité !
pour avancer vers plus de clarté, deux premières étapes
1 produire un organigramme simple (ag - comité - bureau - GT - locales) avec les circuits de décision
2 organiser le comité (voir supra)
André Leclercq · Mon 13 Jul 2015 11:08AM
Ma vision à ce niveau est de fonctionner de manière aussi organique que possible, à l'image d'un organisme vivant en bonne santé.
En pratique, cela implique que les groupes locaux soient entièrement autonomes à leur niveau, ils définissent leurs propres modalités de prise de décision. Idem pour l'instance exécutive (le bureau aujourd'hui) qui a pour rôle de mettre en œuvre les décisions prises par les autres instances au sein du mouvement, dont principalement l'instance constituée aujourd'hui par le comité de pilotage (ou de coordination), mais aussi celles prises par certaines des instances que je cite dans la question 28 (cas typique : conseil d'arbitrage, voire conseil général).
Pour ce qui est des groupes de travail, il faut trouver un équilibre acceptable par tous entre pouvoir d'initiative et démocratie : certaines décisions pourraient être prises de manière autonome, d'autres dans le cadre d'une requête, d'un mandat donné par l'instance « parlementaire » du mouvement (constituée aujourd'hui par le comité de pilotage), et pour d'autres encore, on pourrait envisager une acceptation de la décision après concertation avec les locales, après avoir demandé l'avis de celles-ci, tout cela dans le cadre d'un fonctionnement que l'on peut qualifier d'organique (exemple typique à partir du questionnaire « Que devrait être le mouvement TAC » concocté par le GT « Démocratie interne » : au sein du groupe MFF et/ou du comité de pilotage, il y a de telles réticences vis-à-vis de la forme de celui-ci qu'un consentement de tous à le diffuser parmi tous les signataires s'avère impraticable, mais ces réticences ne parviennent pas à être exprimées/formulées de manière claire et explicite, un accord se dégage cependant pour « renvoyer l'ascenseur » aux locales et finalement le problème se résout au travers de la prise en considération des remarques que certaines de celles-ci renvoient au GT « Démocratie interne » car elles lui permettent de corriger son questionnaire de manière à ce que sa forme ne pose plus problème (ouf!).