Suppression de bourses à l'étranger (5- Education)

je suis favorable à la suppression des bourses à l'étranger pour les formations existant au Gabon ?
A partir du moment où les formations sont disponibles sur le territoire il faut il vaut mieux limiter la fuite des cerveaux. Très peu d'étudiant respectent déjà l'engagement décanale. Autant limiter les sorties et renforcer l'offre de formation.

Il faut stopper le paiement de cours et l'octroie de bourse à ces nombreux étudiants qui poursuivre des formations offertes dans notre pays. Cela engendre des dépenses énormes qui pèsent sur notre économie surtout en ce moment où le prix du baril de pétrole ne cesse de baisser. Il faut renforcer notre système scolaire et universitaire. Le rendre pus crédible et compétitif. Nous ne devons pas nécessairement aller poursuivre nos études à l'étranger. Certaines formations nécessite qu'on se perfectionne ailleurs mais pour l'essentielle, nous pouvons limiter l'octroie de bourse à l'étranger.

C'est un objectif à atteindre à horizon de 2 - 3 ans. Mais cela ne doit pas être mené de manière dogmatique, tant le niveau de certaines formations au Gabon laissent à désirer. Il faudra préalablement s'assurer que le niveau de nos enseignements sur les disciplines concernées est équivalent aux standards internationaux.

D'ACCORD ! à condition que des mesures soient prises pour que les études au pays ne soient plus aussi casse-tête. Construisez des universités, reformez ce système académique archaique qui nous retient aux grèves et à l'abandon tout le temps. Cela règlera aussi le problème qui pousse l'Etat à dépenser des milliards dans des écoles privées alors que ces mêmes milliards peuvent servir à construire des établissements publics capables d'accueillir le surplus d'étudiants qui y est envoyé.

Des bourses d'études à l'étranger ok, mais pas pour payer des études dans des écoles privées étrangères.

à quoi sert-il de parcourir des kilomètres pour apprendre des choses que l'on peut acquérir aisément ici ? La nécessité de l'étranger devraient apparaître pour des formations que nous ne pouvons trouver au pays.

Envoyer des étudiants à l'étranger pour des formations que nous trouvons au Gabon, revient à avouer notre échec dans l'enseignement supérieur. Il faudrait tout simplement rehausser le niveau de l'enseignement en modernisant les cadres d'études.

je suis en accords avec la fin de votre poste mais moins avec le début. depuis quand apprendre au Gabon se fait aisément? Pour grandir il faut au préalable reconnaître ses erreurs et il est évident que notre système scolaire a d’énormes failles et en attendant sa modernisation, que fessons nous des étudiants qui reçoivent ces formations douteuses et se retrouvent plus tard dans nos administrations tels des cerveaux invalides?

L'aisance dont je fais allusion se trouve dans la recherche de la formation. L’apprentissage laisse à désirer certes.
Je penses tout simplement que ce n'est pas en exportant le besoin que les choses vont s'arranger. il faut s'avoir assumer ses responsabilités et réguler la situation. Sinon, voudrait-on dire que ceux-là qui se battent pour de meilleurs conditions d'études sont négligeables ? Que ceux-là qui restent au pays sont moins compétents que ceux qui partent ? Je ne le penses assurément pas !

A quoi bon avoir ces formations si l'apprentissage laisse à désirer? c'est un piège pour nous. 1 notre système fabrique l'incompétence ; 2 il inonde nos services de cette incompétence. la suppression des bourses d'études d'accord mais sous conditions on ne supprime pas pour chercher la solution après.

je suis tout fait d'accord avec toi mon frère bien qu'il y est certains manquement dans notre système éducatif en générale et universitaire en particulier pour ma part, il n'en demeure pas moins qu'il y a des enseignants rompus à la tâche qui aiment ce qu'ils font et qui le font avec abnégation et détermination, moi je suis un future enseignant et je suis ma formation au pays avec des professeurs gabonais qualifier.
Je pense qu'il est important de relativiser par rapport à certains sujet.