@Benoit ayant rédigé et fait cette demande, en te lisant, je pense que tu exprime une opinion clairement contre ma proposition. L'idée que j'essayais de faire passer, c'est qu'il me semble que c'est dangereux de, avant de construire l'outils, le construire sous ce régime de votation et avec un tel système de sécurité quasi néante. Parce que ensuite, il sera difficile de revenir en arrière.
Je pensais privilégier quelque chose de moins engagé dans tout ce qui est à géométrie variable politiquement et qui sort d'une représentativité. Car alors si par la suite les votant qui se servent de l'outil le demande, il est plus facile ensuite d'aller vers cela (fermer les fonctionnalités) que le contraire. Dans l'autre sens... on ne saura jamais vraiment, il reste en terme de probabilité un doute conséquent.
En fait... ça me semblait plutôt cartésien comme approche, mais sa provient aussi de mon envie forte de démocratie directe sans entrave.
De toute évidence quand je lis ton commentaire, tu es opposé à cela. Lorsque la structure n'est plus technique, elle est donc politique... c'est plus de la démocratie directe, mais participative.

Je ne comprends ni leur but ni leur stratégie, Comment peut-on écrire, à l'heure actuelle, alors que le mouvement se compte en dizaines de personne, un texte qui parlerais pour tout le monde.